tag:blogger.com,1999:blog-351758909939924853.post4096575622060861540..comments2022-03-27T15:01:44.734+02:00Comments on Dieu seul !: Euthanasie, mort, perte d'espoir, noir, ténèbresMickaëlhttp://www.blogger.com/profile/13545365088191095697noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-351758909939924853.post-16908478871973781992008-03-21T00:27:00.000+01:002008-03-21T00:27:00.000+01:00Mais vous savez, c'est ainsi que fonctionne la Fra...Mais vous savez, c'est ainsi que fonctionne la France, ses médias, son opinion publique.<BR/>En France, c'est la devise "je souffre donc je suis" ou "je souffre don je vaux".<BR/>La pitié, la compassion servent en France à faire arrêter de réfléchir les gens.<BR/>Si Mme Sébire souffre, elle a forcément raison. Comment donner tort à quelqu'un qui souffre? "Mais regardez donc son visage, comment pouvez-vous pensez qu'elle a tort de demander la mort?". Voilà ce qu'on dit.<BR/>En effet, c'est choquant, on est trés ému. Pour autant, la réflexion continue.<BR/>Prenons la justice : en France, elle pardonne au lieu de punir bien souvent. Le coupable, dès qu'il est arrêté, devient victime. Il est victimisé, on lui trouve des excuses, on lui pardonne, on le relâche (tout de suite ou avant la fin de sa peine).<BR/><BR/>En gros, oui, on attendrit les gens pour mieux les manipuler.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-351758909939924853.post-60823332530403074002008-03-20T07:33:00.000+01:002008-03-20T07:33:00.000+01:00C'est la façon de faire actuelle: on prend un cas ...C'est la façon de faire actuelle: on prend un cas particulier et on brode dessus pour attendrir l'opinion et faire avancer des législations qui autrement ne passeraient pas.Mickaëlhttps://www.blogger.com/profile/13545365088191095697noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-351758909939924853.post-88627410775690960592008-03-19T23:02:00.000+01:002008-03-19T23:02:00.000+01:00Je suis à peu près certain que des gens étaient fa...Je suis à peu près certain que des gens étaient favorable à la demande d'euthanasie de cette malheureuse parce qu'elle était défigurée. Cela me fait penser au livre de Marcel Jouhandeau "Monsieur Godot intime" dans lequel son personnage est défiguré par la lèpre et il demande à sa femme "peut-on encore voir que je souris?" Les critiques y avaient vu la marque ultime de l'optimisme. Bon d'accord c'était un roman alors que la souffrance morale et physique de Chantal Sébire était bien réelle. Chaque malade est un cas particulier et l'erreur dans cette affaire est justement que l'on veut légiférer pour tous les malades.Anonymousnoreply@blogger.com