lundi, février 28, 2005

L'Eglise n'a rien à cacher.

Un nouvelle intéressante piquée de Zenit: l'Eglise n'a rien à cacher.

Ah bon. Je ne savais pas qu'il y en a qui croient qu'elle a des choses à cacher. Mais il faut aussi que les journalistes fassent leur boulot correctement et arrêtent de colporter des âneries.

FOG (Franz-Olivier Giesbert) pense que le clergé est trop souvent replié sur lui-même: je dirais que d'une part le travail épuisant que les prêtres ont à faire chaque jour, et d'autre part les dénigrements systématiques dont est très souvent victime l'Eglise conduisent nos prêtres à moins prêter attention aux médias... ainsi que beaucoup de laïcs d'ailleurs.

Elle doit accepter d'être prise à partie par la presse. J'ose dire que c'est même souvent bon signe.
C'est vrai que c'est bon signe quand on est chrétien d'être pris à partie. Ceci dit, elle est prise à partie non pas pour ce qu'elle est, mais pour l'image fausse, caricaturale et cauchemardesque qu'en donne les médias et nos faiseurs d'opinion.

CITE DU VATICAN, dimanche 27 février 2005 (ZENIT.org) – L’Eglise n’a rien à cacher, a affirmé Franz-Oliver Giesbert, directeur de l’hebdomadaire « Le Point » lors du congrès sur « l’Eglise et les médias : un futur qui vient de loin », organisé par le Conseil pontifical pour les Communications sociales les 24 et 25 février.

« Même s’il lui faut préserver le sacré, l’Eglise n’a, pour le reste, rien à cacher. Elle doit être plus présente dans les médias qu’elle ne l’est aujourd’hui, mais sans naïveté ni amateurisme, en ayant toujours bien choisi son terrain d’intervention », a-t-il déclaré au cours de sa conférence qui avait pour titre : « Qu’attendent les médias de l’Eglise ? »

« Malgré les appels du pape à l’évangélisation, il me semble que le clergé vit trop souvent replié sur lui-même, comme cerné par le monde qui l’entoure », a-t-il affirmé.

« J’ai envie de lui dire : « N’ayez pas peur, n’ayez pas peur des médias qui déforment tout, n’ayez pas peur de hurler vos vérités à la face du monde » » a poursuivi Franz-Oliver Giesbert.

Le directeur de l’hebdomadaire français a reconnu qu’il ne regardait pas la télévision mais puisque « tout le monde la regarde », il a encouragé l’Eglise à « faire du bruit » dans le sens de se faire entendre, affirmant par ailleurs que « l’Eglise n’est plus le centre du monde, mais son point de repère ».

« Elle doit accepter d’être prise à partie par la presse. J’ose dire que c’est même souvent bon signe », a-t-il ajouté.

Après son intervention, Franz-Oliver Giesbert a déclaré à Zenit que selon lui « pour communiquer il faut bien choisir le moment et bien s’expliquer ».

jeudi, février 24, 2005

Comment être chrétien dans la société moderne?

Il est difficile d'être chrétien dans notre monde moderne; ou du moins d'Europe de l'Ouest.

Bon, c'est ce qui nous est dit dans les Evangiles et les épîtres; cependant, je regrette souvent que la société soit si fermée, si intolérante envers l'Eglise. On peut le voir avec le dernier livre du Pape: personne n'a lu ce livre, mais déjà la presse répête bêtement qu'il est scandaleux.

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